Extrait du journal

Je ne voudrais rien dire de désagréable à un homme aussi gracieux que M. Dufaure, ni à ceux qui l'ont applaudi quand il s'est écrié avec une ironie si magistrale : « La liberté des liens sacrés du mariage en proclamant le divorce, voilà donc une des quatre libertés que là Chambre a eu le tort de ne pas voter encore ! » Mais je suis obligé de convenir que ce beau cri du premier de nos ministres et les applaudissements qui en ont été l'écho ne me paraissent pas une solution suffisante de la question du divorce....