Extrait du journal

Oldenbourg, des pierres ont été lancées sur la police, impuissante à réprimer l'émeute ; ce n'était pas assez, le peuple se disposait à saccager la demeure du major Steinmann quand il a été dispersé, la bayonnette dans les reins, par deux compagnies militaires venues précipitamment au secours de la police. Le lendemain, de bonne heure, le gouvernement oldenbourgeois a interdit les attroupements, mais les placards portant la défense ont été lacérés, arrachés des murs et remplacés par d'autres affiches où l'on provoquait en propres termes au « massacre des Prussiens »....