Extrait du journal

Défense. Une telle pensée n'est jamais venue à personne. Le mets ne serait pas assez ragoûtant. J'avoue même que l'idée de mordre dans un jésuite me donne mal au cœur. Le jésuite ne se lave pas souvent, par principe et par humilité, et je craindrais le goût de la sauce. M. des Houx, M. Hairdet et leurs collaborateurs ont donc tort de trembler pour leurs côtelettes, pour leurs ailes et pour leurs pilons. La crainte de tomber sur un imitateur de saint Labre nous empêcherait même de les plumer. Nous ne voudrions pas nous engluer les doigts dans la crasse angélique de ces futurs bienheureux....