Extrait du journal

« s'il y a des points de contact entre-le ministère spirituel et l'administration civile, ces points doivent être réglés par un accord entre ces deux autorités » ; il n'y a point eu d'accord, puisque l'archevêque de Paris n'a connu que par la voie de la presse les instructions du préfet de la Seine ; l'autorité civile a fait le règlement toute seule : tant pis pour elle ; ce règlement n'engage pas l'autorité spirituelle. Les aumôniers n'ont pas à se préoccuper de ce que peut vouloir ou ne pas vouloir ce fantoche, l'Etat!...