Extrait du journal

Le sort ne favorise point ses armes, et il est contraint de se réfugier dans sa dernière forteresse, traînant à sa suite le général anglais et miss Ellen. Mais Djamma, devenue jalouse de la jeune fille, lui rend la liberté en l’absence de Nana-Sahib qu’elle prive ainsi de son plus précieux otage. Quand le rajah, encore une fois vaincu, rentre dans le fort et qu’il sait l’acte d’égarement de Djamma, il se sent perdu. Les troupes anglaises cernent sa dernière retraite. Alors il ordonne à lord Wisley, sous peine des plus cruelles tortures, de monter sur les remparts et de crier aux soldats de battre en retraite. L’officier obéit. — « Soldats, s’écrie-t-il, je suie votre général ; tant que je suis vivant, vous me devez une obéissance aveugle. Eh bien ! Je suis menacé des plus atroces supplices; feu sur moi en pleine poitrine. » — Un feu de peloton retentit et lord Wisley tombe frappé en soldat....