Extrait du journal

condition* et qui no reconnaît rien de ce qui s'est fait avec le* idées et les principes de la révolution. Étonnez-voua donc, grands politiques du Centre droit, que le libéralisme ait refusé de vous suivre dan* cette évolution oit vous cessiez d être vous-uiêuies pour marcher à la suite de vos adversaires naturels qui voua forçaient à renier votre passe et h poker leur cachet sur tous vos actes ’ Le libéra liste ne pouvait que vous abandonner A vos déplorable* inspirations Disposé d abord il franchir, comme ou Va dit, le détroit avec vous, il s'est enfin décidé, eu vous voyant manouvrier d uue façon suspecte, « passer l Atlantique, et il ne reviendra pas. Peut-il d ailleurs vous pardonner la guerre ilelovule que vous avril faite au grand citoyen oui fut longtemps votre guide et vôtre honneur et auquel le pays doit son salut Y II lui est dilÜeile encore d oublier les injures dont voua avez essayé d'accabler des hommes éminents et dévoués que vous comptiez jolis au nombre de vos amis et de vous mettre à cet regard à Vunisson des fanatiques d* la droite et de 1 empire qui affectent de voir en eux des révolutionnaires de 1* pire espèce et qui. de temps à autre, vous enveloppent vous-mêmes dans leurs proscriptions morn'e.». pour peu que tous cessiez d'être dociles Mais ce que 1 ancien parti libéral rallié à la République. ne saurait ni voue pardonner ni oublier, chenet le peu de cas que vous avez fait des intérêts les plus précieux de la nation, de ses libertés, d* .«a prospérité compromise* par des intrigues, de* manoeuvre* et des équivoque», qui ne peuvent aboutir et re soldent némoins par de» atteintes profondes portées à la fortune publique, signalées avec terreur par vos propres organes...