Extrait du journal

cives des ministres qui ont bâclé nos réformes commerciales de 1860 4 a-t-on asBcs dit qu’on n’avait consulte personne, et que tout avait été traité en dehors des hommes compétents, dont on redoutait le contrôle et l’opposition ? Ce n était pas la peine de se plaindre si. dès qu on a le mouvoir en main, on agit absolument somme ceux qu’on a critiqués ^ Ma.gré ces déplorables tendances, nous espérons encore que l’avenir de notre commerce et de nos industries ne sera pas sommairement engagé sans préavis, sans examen approfondi et sans débat. Ce serait le coup le plus fatal porté au travail industriel, à la prospérité de noire pays, fi l’on persistait à ne rien entendre et à substituer la volonté d'un kal aux résolutions calmes, réfléchies et libres de tout parti pris ou de tout intérêt, des corps qui ont le droit et le devoir às faire entendre la vérité au gouvernement....