Extrait du journal

* * * îles officieux pourtant n’ont pas manqué pour tâcher de le dissiper. Parmi ceux-ci, M. I. André en 1913 et, tout récemment, Mme J. d’Orliac ont consacré deux livres excellents à ce fait-divers qui intéresse si vivement l’histoire littéraire. Ils fou* ont décrit tous les retentissements du sinistre coup de fusil — un coup formidable, pareil à celui d’un chasseur y l’affût, tirant quelque gros gibier — qui, par un jour de printemps, éclata dans les bois de Larçay et tua Courier, éveillant les échos de Vcretz, d’Azay, de Tours, de Paris. de la France entière. La fumée devait en être bien opaque, puisqu’il en flotte encore autour d’hui quelques flocons au-dessus des frondaisons où l’on honore la mémoire du « vigneron » fameux....