Extrait du journal

de M. Lafargue serait, a entendre M. Camille Pelletan, la goutte d'eau qui fatalement devait faire déborder le vase : « C'en est trop, - s'écrie-t-il. Si c'est ainsi que l'on compte faire l'union des républicains contre toutes les idées républicaines, nous n'avons plus que faire, dans l'espèce de gouvernement qu'on peut établir sur un tel programme. Nous ne reprenons pas notre liberté d'action, on nous l'impose. Voulait-on à toute force nous montrer tout ce que contenaient pour nous de duperie, les sacrifices faits par nous à l'union de la démocratie ? »...