Extrait du journal

: Mais si quelque chose devait nous faire aimer l'Angleterre, ce seraient les inveciives que les nationalistes et cléricaux de France ne cessent de lui adresser. Ries n'est plus odieux, n'est plus ridicule que toutes ces provocations destinées à flatter l'opinion publique. Leur but a été souvent dénoncé dans la presse, et leur danger a été signalé. On pense bien, que si les républicains nationalistes se rencontrent avec Rome et les royalistes sur le terrain de i' intolérance, ils doivent se rencontrer aussi avec eux sur le terrain de la politique étrangère. Aussi, rien n'est plus dans l'ordre que 4a polémique que le duc d'Orléans entretient avec les cercles de Londres....