Extrait du journal

morale sont plus élevée* chez les in dividus qui prient, même de façon médiocre* que chez ceux qui ne prient pas. Même lee effets « curatife » de J a prière sont incontestables. L’auteur ici rend hommage au Bureau médi cal de Lourdes qui a rendu un grand service à l» science en démontrant la réalité de eus guérisons. Il atteste comme véridiques la plupart dee mi racles attribuée, par exemple, au curé d’Ars. Et il conclut modeste ment, en voulant être ni philosophe ni théologien, que < tout se passe comme si Dic.u écoutait l’homme et lui répondait ». « Les effets de la prière ne sont pas une illusion » : voilà l’opinion d’un savant, étayée, non sur la foi, mais sur les données de !a science. Et nous, nous savons que jamais la prière ne fut plus nécessaire ; que jamais nous n’avons eu un besoin plus urgent non seulement du se cours de Dieu, mais d’un effort d’a mour pour accepter les desseins de sa sagesse. Il nous est bon de nous entendre dire, par un homme qui n est pas des nôtres, que notre con fiance n’est pas vaine, et qu’il est vraiment démontré « que quiconque demande reçoit, et qu’on ouvre à ce lui qui frappe ». J. des VERRIERES....