Extrait du journal

Quand on songe que depuis deux ans, l'égorgement, le viol, l’incendie et le pillage sont le mode de justice et de gouvernement que connaissent nombre de districts ottomans, que des vilayets entiers sont passés au sabre, livrés sans protection ni défense à la férocité, à la cupidité, à la lubrifié d’une soldatesque à demi barbare, lâchée sur des populations chrétiennes, ce n'est pas le Turc qui est le plus coupable: lui, fait sa fonction de destructeur-né ; c’est l’indigne Europe qui laisse faire, qui n’intervient pas,qui n’impose pas de frein à ces atrocités, toujours par la peur ridicule de voir l’un des intervenants mettre en fin de partie la main sur Constantinople « empire du inonde »....