Extrait du journal

— Mon cher Paul, ô mon meilleur ami, voilà des années que sous prétexte d'encourager l’art français tu assouvis ta fatale passion pour Shakespeare et toutes tes petites préférences; tu as pu installer tranquillement snr le domaine promis aux lettres des choristes et des chefs d’orchestre ; sans que personne intervienne tu as jonglé avec le cahier des charges et mené la subvention selon ton caprice, — mais il faut savoir s’arrêter, ne tire pas trop sur la corde, mon vieil ami, et file avant qu’elle ne casse !...