Extrait du journal

Suivez la marche de la réaction. Dans les commencements on avait soin de masquer les espérances monarchiques derrière un respect hypocrite pour la forme du gouvernement établi en ISltt On se donnait seulement le lâche et facile plaisir .1 insulter l esprit révolutionnaire, comme si celte Republique à laque le on feignait de se soumettre n était pas sortie dune révolution. Allajuer la cause . n était-ce pas attaquer l effet ? Aujourd'hui les espérances des partis monarchiques se découvrent. On sç croit assez fort des événements et de» dcrnicie» fautes du parti républicain pour s en prendre définitivement a h République. Il y a cependant des ménagements à garder.On none pas encore attaquer de front un gouvernement établi qui a pour lui le droit et les ardentes sympathies des masses. Paris •st là; Paris toujours debout et grondant, qui couvre la République de sa vaste poilue. Dans les campagnes, l'espiil démocratique a aussi jeté de profonde...