Extrait du journal

Si la bouffée de poudre de riz et d’optoponta (opoponax, ô parfum démodé) qui est aujourd’hui tout ce qui reste d'une société disparue, entête un peu plus qu’il ne faudrait peut-être, les lecteurs et lectrices ordinaires de mes articles, c'est que, signe des temps, Mane, Thecel, Phares,d'un festin de Balihazar déjà depuis longtemps fini, elle vient de craquer et de sombrer cette dernière semaine, conte élégante société des femmes de l’Emptre, et c«la doublement, et dans la trahison de son romancier favori, de son auteur attitré et dans la raison d'une de ces gloires, la plus jolie et la plus fêtées peut-être d'entre rouies, devant laquelle a dû s’ouvrir la porte à judas grillé d’une twiste maison de fous....