Extrait du journal

m Il lui saisit la main. — Tu le saie bien, ajouta-t-il, — 11 lui faudrait, pour ta femme, une dot, la dot réglementée au moins 1 Où la prendre t puisque toi aussi tu ne possèdes que ta solde. Ah! je n’ai pas besoin de te le dire, si je possédais quelque ft^tune, combien je se rais heureux de faire moi-même cette dot et de te l’offrir en même temps que Germaine, car elle est digne de toi, et vous êtes deux nobles cœurs... Mais, — poursuivit le vieil lard avec une tristesse croissante, — je n’ai rien ou presque rien. Le plus clair da mon avoir est ma retraite de médecin de l'Assis tance publique, cette humble maison dans laquelle nous nous sommes retirés et quel ques petites rentes... Le tout forme à...