Extrait du journal

vu — Mais, je l’aime... parrain !... Je l’aime pomme un fou !... Non, je ne puis me faire à cette pensée horrible de renoncer à elle, de la perdre à jamais !... non... non, cest impossible !... — s’écna-t-il avec égare ment. Violemment ému par le chagrin de son filleul, le général reprit avec une fermeté paternelle : i— Il le faut, mon ami., il le faut, tu ne peux vouloir faire le malheur de cette jeune fille... Elle n’a pas de fortune, toi non plus... vous ne pouvez doue vous marier. _ Mais c’est affreux ! — répétait Paul. — Tu ne pourrais l’épouser qu’eu usant d’un de ces procédés coupables employés quelquefois par des officiers peu scrupu leux pour tromper la clairvoyance jfo leurs chefs et violer les règlements, en simulant le versement de la dot ; mais je trop ta haute loyauté et ta...