Extrait du journal

ce qu’il lui plaira. Il n’entend pas prendre des engagements envers la France et l’Angleterre, qu’il se croit assez puissant pour négliger. Son voyage à Berlin semble lui avoir mis dans l’esprit qu’il sera invincible s’il s’appuie sur la puissance industrielle de la nation allemande.’11 devrait re lire quelques fables de notre plus grand philosophe qui est La Fon taine. Il y trouverait quelque chose qui concerné un certain fenard et une certaine cigogne. Pour le moment, on ne saurait dire que la porte soit fermée à toutes né gociations. A Londres ou ailleurs, on parlera, sans grand résultat. Rien n’est changé. Ne donnons pas une importance dramatique à dette note très courtoise et très italienne. Les Anglais et nous, résolus à la paix, la maintiendrons. Mais quels germes de discordes on sème imprudemment sur l’Europe ! GALLUS....