Extrait du journal

la Sibylle. Voici, taillés dans la pierre, la niche de Cerbère, le lit de Néron, le lit de la Sibylle, son bain... Un vi sage éclairé apparaît dans le mur. s N’ayez pas peur, c’est mon fils... » Et c’est là le petit 'guichet par lequel ou écoutait l’oracle infernal. On repasse le Styx, on retrouve sa canne, ses espérances et la chaude lu mière du ciel italien. On a vu ce que les volcans ont laissé des immenses sou terrains si bien préparés par la nature mystérieuse et si bien machinés par quelques hommes sages pour la bonne terreur sacrée des autres hommes. Mais après le volcan, voici l’ingénieur. Il n’y a plus qu’à laisser, « pour de bon » cette fois,* tout espoir. Et il faudrait un nouveau cataclysme pour qu’il y eût à nouveau, plus tard, des ruines à mon trer aux étrangers. FERNAND DIVOIRE...