Extrait du journal

il a du dévouement, de la sincérité, de la bonne foi, des principes ; il a de tout à re vendre ; quel; homme I quel génie ! quel • dentiste ! i Le père de « l’esprit nouveau » a ensuite,. £)prôs avoir amplement fait son éloge, parié, de sa conception spirituelle et donné une nouvelle définition dp î’esprit qu’il est allé ébèreher sous la mule du pape. Il ne consiste pas, ’— l’esprit nouveau — comme on l’a,prétendu . calomnieusement, dans un esprit de réaction ; il consiste à examiner.les questions sans passions, avec le sentiment de la justice, de la vérité et de l’égalité , sociales, à écarter toutes les discordes et tou tes lés rancunes, de façon à donner conscience' au pays de la grandeur de ses destinées. Des mots, des mots,'toujours des mots], rien que des mots ; mais dans l’application — et Spüller l’a faite lorsqu’il était au pou voir—nous avons vu ce qu’il entendait; par esprit nouveau : la France républicaine livrée an clergé réactionnaire. ■ Le discours, du gros Badois s’est terminé par! cètte. phrase empreinte de la plus grande modestie : • j ,. Je me livre à vous. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que je viens ici, et l’accueil que! j’y ai reçu vient de m’arracher des accents que je ne me connaissais pas. Pauvre cher ange! on lui a arraché des accents inconnus. • Il avait déjà l’accent badois ; pour faire plaisir à ;Dupuy il aura panaché son dis cours d’auvergnat. Alors tout s’explique, même les accents : arrachés. - . - • A.-H. M....