Extrait du journal

Au lendemain du terrible incendie du 11 août 1888 qui a détruit la plus belle partie de la ville c ruine ions les commerçants de 1 époque, la Guyane se traînait dans une longue agonie dont rien ne pouvait faire prévoir la fin. Les placées, presque abandonnés, à cause de l’exode des ouvriers mineurs vers tes riches gisements d’or découverts au territoire contesté franco-hollandais, ne récoltaient presque plus d’or, Les mineurs qui exploitaient i’A*à étaient forcés, pour ne pas perdre lé fruit de leur labeur, de rendre leur or A A'binaet dfi s approvisionner dans ce bourg où se trouvaient déjà des commerçants étrangers, Bref, notre colonie se...