Extrait du journal

« Nous devons constater que l'efJort allemand pour une aviation militaire a été, par la force des choses, plus lent même que nous ne l'avions prédit. Avant l'échéance qui sera toujours celle des rivalités d'armements, les nations européennes, en 1935 comme en 1934, disposent donc encore d'un délai. Elles peuvent l'employer à poursuivre, seules ou groupées, à coups de milliards et de campagnes de presse, jusqu'à la guerre ou jusqu'à la banqueroute, des « parités » aéronautiques indéfinissables ou une supériorité décisive qui les fuira comme une ombre. Elles peuvent aussi essayer de s'entendre. »...