Extrait du journal

JRk part une élite d'hommes couJrr\ rageux, et qui ont rejoint dès 1940 les positions révolutionnaires, l'Université française est aujourd'hui comme endormie et paralysée. On pourrait croire qu'elle consacre une activité à la fois fébrile et souterraine à contrebattre l'esprit européen, à fronder contre l'occupant, à entretenir la flamme dérisoire des revanches à venir, à supputer les. chances de la libération, et que par ailleurs elle ajourne une reprise de son activité normale pour le temps oil l'indépendance sera reconquise et la « liberté » restaurée. Eh bien, il n'y a de vrai là-dedans que l'ajournement, et ces mêmes hommes qui prétendent vo-...