Extrait du journal

Le général nous guidait. Il nous arrache la contemplation et nous dit a Maintenant, faites-moi le plaisir de venir chez moi Quelques tours de roue et nous arrivons à une bûtisse colossale, d'une puretk de ligne et d'ure sobriété magistrales. Nous montons un escalier de mosaïque et de cuivre, tenu avec une propreté resplendissante. Nous entrons dans une immense sar blanche que nous surplombons sur un balcon d'acier. A nos pieds, vingt formidables turbines tournent, comme d'énormes éléphants en cage, emplissant la veste salle du ronflement énorme de leur masse. Pas un ouvrier..pas une fumée, pas un coin noir Tout est reluisent et net...