Extrait du journal

Je crois que là est la vérité, et qu'il faut se garder, ici comme ailleurs, des thèses trop absolues. Laissons les instituteurs apprendre le français par les méthodes qu'ils jugent le njeux convenir au but qu'ils poursuivent, et mettons à la disposition des Alsaciens et des Lorrains, qui n'ont pas eu le bonheur de pouvoir app,rendre le .français toute une sorie de facilitées destinées à aplanir les difficultés qu'ils rencontrent dans leurs relations avec les administrations françaises. Avec de la bonne volonté des deux côtés, on arrivera sans peine à adopter le modus le plus approprié à la situalion le fait devant laquelle on se trouve....