Extrait du journal

le le revois, dans cette matinée calme du 31 juillet, tandis que nos canots entraient dans le port, et sur une mer calme, si ealme Nous passions bord à bord et j'ai été frappé, presque douloureusement, de le trouver si différent de l'image que m'avait laissée notre dernière rencontre à Paris, toujours aussi droit mais amaigri, vieilli, et surtout triste. lui, dont la gaité et l'entrain forçaient à sourire, par sympathie, quiconque l'approchait. Cette zsaeontre dans le port de Repkjavik avec les joyeux canota du Larayefte bondés de Français et de Françaises debout les bras agités vers lui, mouchoirs et écharpes secoués, ne réussissait pas à détendre son visaga grave, préoccupé, et le geste de sa main qui nous répondait semblait plus un adieu qu'un signe d'accueil....