Extrait du journal

Si je ne me trompe, Lysis, au pseudonyme mystérieux, est ce rédacteur financier de VHuTnanité qui, quelque temps avant la guerre, avec une grands vigu. r et de trop bonnes raisons, reprocha aux établissements-de crédit français d'avoir drainé l'épargne du pays vers les industries étrangères, alors que notre industrie nationale végétait faute de capitaux. S'il advient que son discours s'adresse aux socialistes, il dit nous ». comme Gustave Hervé dit « Socialistes, mes frères. Ainsi les vérités sont moins rudes à entendre, et les plus vifs réquisitoires gardent le ton d'un examen de conscience....