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L’Ouest-Éclair, 30 mars 1925

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L’Ouest-Éclair
30 mars 1925


Extrait du journal

Les conséquences de cette situation ne ) cuvaient être que fâcheuses. En choisissant M. Scelle, en s'efforçant de l'installer contre la volonté quasi unanime des enseignants et des enseignés, c'est M. François-Albert, c'est le Gouvernement qui se sont posés en provocateurs. Nous sommes en démocratie. La démocratie ne peut vivre sans autorité, cela est certain, et ce n'est pas nous qui prétendrons qu'elle doit se dérober à ce principe. Mais l'autorité, en République, doit être basée sur le consentement des intéressés: elle ne se cunfond nullement avec l'arbitraire. elle ne saurait se mettre au service d'un parti, d'une faction, d'une secte. Or, c'est ce qu'elle fait, de façon brutale et révollimte. dans cette scandaleuse affaire. Le ministre de l'instruction Publique, du reste, accumule depuis six moi.» gaffes est incongruités. Il prononce le discours de Valence, qui obligea M. Herriot à faire, à la tribune de la Chambre. une sorte...

À propos

Fondé en 1899 à Rennes, L’Ouest-Éclair était un quotidien régional français dont l’influence prospérait sur toute la région Bretagne, jusqu’en Vendée. Il sera remplacé par Ouest-France à la Libération, en 1944.

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