Extrait du journal

ffous avons toujours demandé que le gouvernement prêtât davantage l'oreille aux ,voeux formulés par Jes groupements économises et particulièrement par les Chambres de commerce. Il se serait évité, en les consultant, en sollicitant ou en écoutant leurs avis souvent anxieux, bien des fautes. Maintenant que la guerre est finie, NI. Clémentel se souvient que les Chambres de commerce sont des organismes qu'on n'a pas le droit de négliger, .quand on travaille la réorganisation économique de la France....