Extrait du journal

Louis Rollin, a cru devoir, pour éviter l'envoi à la Petite-Roquette d'enfants simplement malheureux, demander au Paiement l'abrogation de cette loi bienfaisante du 24 maïs 1921 -et, en attendant, il a supplie les commissaires de police de ne plus soumettre à l'examen de l'autorité judiciaire letS vagabonds mineure, mais plutôt de leur donner l'adresse d'institutions charitables capables de les protéger. L'intention était louable, mais de ce que l'Administration pénitentiaire n'a pas BU moderniser la PetiteRoquette et en faire un véritable centre d'observation afin de faciliter la tâche des juges d'instruction qui ont à examiner le cas de ces enfants, il ne s'ensuit pas qu'il faille toucher à la loi....