Extrait du journal

Si un être humain présente devant le publié des exercices périljeux, c'est qu'il y trouve du plaisir ou de l'intérêt. Rien ne l'y oblige. Il peut, pour gagner sa vile, choisir un métier moins dangereux et surtout pius utile. L'animal, lui, est contraint. On ne luil demande pas son avis. Et je suis bien sûr que pour lie gagner qu'une pâtée et une mauvaise niche, un sac d'avoine et une écurie froide, tous les chiens et tous les chevaux de la terre, s'ils étaient consultés, préféreraient aux applaudissements du public, la besogne de garde ou de trait qui leur est normalement assignée - par nos traditions....