Extrait du journal

Tous trois appartiennent à la même famille (celle des Peronosporacées), dont les représentants sont considérés comme des parasites nécessaires. Cela semble écarter a priori toute possibilité de les faire se développer complètement sur des milieux artificiels ou non vivants. Et, de fait, pour aucun des trois parasites que nous mettons en parallèle, il n’a été possible de cultiver le champignon « in vitro » jusqu’à obtention des organes de reproduction. Pourtant MM. Matruchot et Molliard auraient réussi à cultiver le Phytophtora infestons, sur tranches de pomme de terre vivantes, jusqu’à la fructification, mais nous ne savons pas si les convoies obtenues ont transmis la maladie à des plantes saines....