Extrait du journal

» ner , j’étais, malgré moi, poursuivi par le demie » insurmontable de connoistre les cruelles institua étions qui m’a voient arraché des bras paternels... » Je parvins, après plusieurs années, à me con» vaincre qu’elles avoient infecté presque toute » l’Europe... Mes recherches m’a voient appris que » la double liberté a laquelle j’aspirons ( celle de » ma personne & de ma propriété ) , je la brou» varois en Angleterre, la veule nation qui ait » fu (e dégager des entraves de la féodalité. J’y w aidai avec le petit pécule que j’avoie amafle... » Je m’appliquai au commerce. J’sacqué en vingt » années une fortune honnête. Un nouveau demie » s’empara de moi... Ce demie étoit de revoir les i> lieux qui m avoient vu naître , d’embrayer mon » père 6c de premier mon cœur fur le foin qui h m’a voit nourri. Ils vivotent encore ces vieilli laids refpeétabies... J’avoie chatté l’indigence du » foyer de mes pères, j’y fis entrer l’honnête » médiocrité. Elle y habita constamment depuis....