Extrait du journal

MOUvEMSS? D’ARTISTES. Ou entend dit; partout qu’il n’y a personne à Paris. C’est le moment des chassas, de la villeggialure, des excursions lointaines et des trains de plaisirs. Ce pauvre Paris n’est qu un réel. Je le veux bien; niais il est certain que je n’ai jamais rencontré autant d’asti les qu’il \ en avait ces jours derniers sur le b boulevard des Italiens. Si I on avait eu l’idée de les réunir dans un concert. et de ne les faire chanter ou jouer qu'une fois chacun, on aurait eu un festival de plusieurs journées, qui i Vu IVrl réjoui nos voisins d’oulre-Monche. La s à -on de Londres vient fie finir ; la saison de Turin, de Milan, de Madrid, de Vienne, de Saint Pétcrsbourg n’a pas commet cé. Tout le monde profite de l’intervalle pour venir passer quelques jours à Paris et faire des empiètes de costumes, de chapeaux, de robes , de férus et de fard ; car en fait de modes, et surtout de couleurs, les marchands de Paris atout personne qui les égale....