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Vert-vert, 21 août 1837

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Vert-vert
21 août 1837


Extrait du journal

Oranger, dont la voûte épaisse Servit à cadrer mes amours. Reçois et conserve toujours Ces vers encans de ma tendresse ; Et dis à ceux qu'un doux loisir Amènera dans ton bocage Que si l’on mourait de plaisir, Je serais mort sous ton ombrage. T lie est l’insu option oui convié nuirait aux orange r* , aux grenadiers et aux laurier roses d s Tuiler es, dont le printemps nous ramène les allées si utiles aux pro; os de cœur et aux réai ions d’amans. Si la canicule de la présente année off e une continuité d'ardeur remarquable, C-la ne tient pas se lenci.t à la peste de Aarsovh et aux protestations de M. Vienne! contre la croix d’honneur ; cela ne tient pas même aux préfaces de Charles Nodier en l'h rieur de son Mécène; cela lie; t uniquement aux amours des Tuileries, dont l'enthousia-me n’a jamais donné a tant de gages à la paix du m inde, voire des deux mondes, et aux voluptés d' la nature en général, et du deuxième arroi gisement en particulier....
Vert-vert (1832-1902)

À propos

Vert-vert, journal sans abonnés est un quotidien français littéraire et dramatique. Dédié aux Beaux-arts, à la littérature et au théâtre, il avait aussi l’habitude, comme un grand nombre de titres de l’époque, de publier des romans sous forme de feuilletons.

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Données de classification
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