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Je suis partout, 14 octobre 1938

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Je suis partout
14 octobre 1938


Extrait du journal

IL ne faut pas oublier que les bellicistes établis sur notre soi,! qui ont voulu nous jeter dans une guerre où la France aurait | péri, sont encore vivants et encore en liberté. Il ne faut pas oublier que le parti communiste n'est pas dissous. I Il ne faut pas oublier que la radio est toujours sous la domi-, nation des Juifs et du Front populaire. Il ne faut pas oublier que l'Humanité* que le Populaire* quel l'Aube* que l'Époque, qu'fia Écoutes continuent à paraître, impunément. Qu'on ne nous demande pas Punion sacrée avec toute cette I ,canaille! Qu'on ne nous demande pas de pardonner! Ils ont déjà, recommencé leur action destructrice contre la nation. Ils ont re commencé leurs attaques et leurs combinaisons louches. Pas d’union contre la paix! Pas d’union contre la patrie !...

À propos

Anticommuniste, profasciste, antisémite et positivement favorable à Hitler, Je suis partout est le journal d’extrême-droite le plus violent jamais publié en France. Si violent que son directeur Arthème Fayard, fondateur des éditions Fayard, décide dès mai 1936 de cesser sa parution. À sa mort en novembre 1936, le journal est toutefois relancé par son fils et Pierre Gaxotte, futur membre de l’Académie Française.

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