Extrait du journal

En résumé, s'il n'est pas impossible que les sucres coloniaux reçoivent quelque jour des primes directes ou indirectes de leurs gouvernements respectifs, il ne faut pas s'attendre dans l'affirmative à leur voir délibérément iaterdirel'accôs du marché anglais,par l'application de droits compensateurs. Quant à présent, on ne saurait trop le dire, la question demeure sans portée pratique, et à telle en seigne, paraît plus susceptible d'alimenter les der nières polémiques des adversaires de la convention que de troubler la paix des producteurs continentaux par le mirage inutile d'une fictive rivalité. HENRY PUPIN....