Extrait du journal

L'extrême gauche se plaignait, dans le premier cas, de la politique extérieure qui ruine l'Italie, et, dans le second, de la désinvolture avec laquelle le premier ministre détermine des crises et choisit des collaborateurs nouveaux en l'absence du Parlement. Pour la politique extérieure, M. CrÎBpi a facilement obtenu l'approbation qu'il désirait, et qu'on ne lui marchandera guère que le jour où ses folies auront mené son pays et la maison de Savoie jusqu'à l'abtme. Pour la politique intérieure, il n'en a pas été de même, et les radicaux ont trouvé des auxiliaires dans des rangs où l'opposition, se généralisant, pourra devenir singulièrement dangereuse pour le protégé de l'Autriche et de l'Allemagne....