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La Petite République, 6 octobre 1899

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La Petite République
6 octobre 1899


Extrait du journal

cette seule fin que la destruction des hauts fourneaux puisse être attribuée à la grève et non à une volonté patronale bien et dûment arrêtée antérieurement. Il reste donc à savoir si M. Schneider, en cherchant à porter atteinte à la liberté indi viduelle des citoyens qui travaillaient chez lui n’a pas encouru les rigueurs de la loi ; et, d’autre part, à examiner si une industrie qui occupe toute une population peut être aban donnée de par le bon plaisir d’un monarque industriel et si une gérance, dans un but d'in térêt social, ne saurait être imposée... Le patronat monarchiste a exclu depuis longtemps toute équité. C’est à la République à prendre des décisions énergiques. En ce moment, travailler a défendre les travailleurs c'est leur montrer que le salut leur peut venir par la République et c’est couper court à la tentative de ceux qui es sayent de leur indiquer un autre chemin. Emile Joindy. NOTRE SOUSCRIPTION...

À propos

La Petite République française – puis socialiste de 1898 à 1905 – fut une feuille républicaine à cinq centimes lancée en 1876 qui connut un succès relatif dans les premières années de la Troisième République. Satellite de La République française de Gambetta, les deux publications deviennent indépendantes en 1878 avant que la diffusion du journal ne s’amenuise à la mort de ce dernier en 1882.

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