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La Presse théâtrale, 20 avril 1865

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La Presse théâtrale
20 avril 1865


Extrait du journal

En effet, voici la fable choisie par les auteurs : Un jour, à Londres, plusieurs émigrés flagrance est en pleine Terreur, 1793) causaient et médisaient. Que faire à Londres, à moins que l’on ne cause et que l’on ne médise! Ils médisaient donc... de l’a four. L’amour est mort, la chevalerie n’existe plus; adieu le dévouement! Vous vous trompez, messieurs, s’écrie alors le marquis, jeune noble de la vieille école, il en est qui savent encore risquer leur vie pour obéir à la volonté ou au caprice de leur dame : adieu! je pars pour la France, pour le château de Saint-Vast, cueillir dans ce domaine abandonné un de ces billets blancs que l’ancienne châtelaine aimait tant autrefois....

À propos

La Presse théâtrale est une revue artistique et littéraire ayant paru de façon hebdomadaire entre 1855 et 1865. On y trouve des critiques, des chroniques et des recensions d’ouvrages. Il prend la suite du Colporteur et est remplacé par La Presse musicale.

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