Extrait du journal

Jèoe vois pour ma part aucun inconvénient à ce qu'une des fêtes les plus glorieuses de la chrétienté soit célébrée par un congé plus long qu'autrefois, même octroyé dans les collèges d'où Dieu est banni mais tout de même, à -propos de ces vacances dé Pâques, il es t permis de faire observer que les jours de chômage se multiplient étrangement, depuis quelques années, dans les maisons. dépendant de l'Université. Notez que les congés du jour de l'An, ceux du carnaval, ceux de la Pentecôte se ^sont déjà allongés xle notable façon. Il ne me semble pas vraisemblable que les études gagnent beaucoup à ces fêtes copieusement célébrées. L'Etat abuse peut-être du droit d'être populaire auprès des potaches au détriment des familles, qui paient, en somme, une pension calculée sur douze mois de séjour de l'enfant' au collège et que n'intéressent pas les économies pratiquées sur le veau et la salade par cette mère Gigogne de république.....