Extrait du journal

Antoine, cependant, remarquait avec une inquiétude croissante, les fréquentes pâleurs de la {eune iemme. Souvent il la trouvait les yeux gonflés encore de larmes récentes. Des soupirs, que son sourire triste, ensuite. dédaignait d'expliquer, le tenaient dans l'angoisse cpntinuelie d'une sounrance profonde qu'elle tui dérobait. Respectant son silence, il osait a peine la muette interrogation d'un regard; mais, insensiblement, grâce a des mots échappés, u des coups d'œil surpris, il pénétrait un peu de sa tristesse; tandis qu'elle-même, en des heures de lassitude, où elle cédait a un besoin de consolation, achevait de lui découvrir toute la lente torture de sa vie....