Extrait du journal

On n'a pas oublié le coup mortel" que l'on avait porté aux courses en supprimant les bookmakers pour rétablir le pari mutuel. Le plaisir hippique de l'amateur qui suit les courses, connaît les chevaux, voit la bête qu'il a choisie prendre son galop, modiûe ou défait son pari à la derniers minute, suivant la condition de l'animai, tout l'art de l'homme de cheval se trouvait supprimé, et l'on y substituai!. une sorte de loto sur lequel on pourrait jouer tout aussi bien en faisant courir des lapins ou des cochons d'Inde....