Extrait du journal

Autrefois, ceux de la seconde catégorie, les bons serviteurs, étaient de beaucoup tes plus nombreux; suivant le mot prudbommesque, il n'était point rare de trouver le domestique, naissant et mourant dans la même famille, en faisant partie intégrante, heureux de son, sort, ner de ceux auxquels il était dévoué, portant orgueilleusement le nom de cette maison dont les rameaux le protégeaient, sa vie entière. Dans la bourgeoisie, le vieux domestique, qui faisait partie de la famille, en partageait les joies, et que l'on trouvait, devant un gros revers de fortune, apportant simplement toutes, ses économies pour faire marcher la maison, faisant cela sans la plus petite ostentation, comme un devoir qui ne lui donnait pas !é plus mince droit de s'affranchir du respect traditionnel, ce domestique-là était tréquent....