Extrait du journal

Ecoutez ses propres paroles, qui sont adressées aux catholiques espagnols « On me demande ce que signifierait pour nous le triomphe du kaiser. Eh bien, ce triomphe signifierait la guerre à mort contre le catholicisme, la victoire définitive de l'esprit protestant, la glorification de Luther. Personne n'aurait droit à la vie, ni les individus ni les peuples, s'il n'acceptait le joug de la Bête et ne devenait l'esclave de Guillaume. ». Puis, mêlant la question de race à la question religieuse, il répéta, comme un credo qu'il recommande à ses partisans, ces belles paroles du plus illustre des carlistes d'autrefois, M. Nocedal Je dois deux bienfaits à la Providence, et je l'en remercie tous les jours d'abord d'être chrétien et ensuite d'être Latin. Le premier me remplit de reconnaissance et le second d'orgueil, de noble et légitime orgueil, car nous, les Latins, nous sommes l'aristocratie du monde et lés autres hommes ne sont que des plébéiens. n...