Extrait du journal

Les Japonais qui devaient partir samedi auront-ils le temps de se mettre hors d'affaire, avec leur agent commercial, l'aimable Kamakauï, avant que les hostilités ne rendent dangereux le voyage au Japon ? C'est ce que personne ne sait. Pour le moment, ils sont en panne. Mais nnl doute que le commandant de la place ne leur déclare, s'ils doivent rester pendant la guerre à Vladivostok, qu'il ne leur sera fait aucun mal. Une déclaration analogue a été bien accueillie par. leurs nationaux à Khabarovsk, où ceux-ci sont restés, au nombre de plusieurs centaines....