Extrait du journal

Il n'en veut pas convenir, par modestie, assurément et, dans son interview, il me répond sur ce que je n'ai: pas dit; il esquive la question, au lieu de la discuter. J'ai affirmé que, dans son impôt sur le revenu, pour le produit des valeurs de Bourse, il ne' voulait chercher aucun moyen de connaître la fortune personnelle du contribuable il.se bornait à lever un impôt de tant pour cent sur. chaque coupon, au guichet où il serait payé, sans savoir si ce coupon appartient à Pierre, 'Paul oû'jJacques. Nie-t-il que tel ne soit son projet Il ne le;peut pas. Reportezvous à son discours, Journal officiel, page 2320, ire colonne. Vous y lirez « Je prends toutes celles des valeurs que je puis saisir au paiement du coupon. » Et il dit qu'il se rapproche le plus possible de l'impôt anglais « L'Angleterre, en effet, tout en ayant la déclaration dans la plupart des cas, a bien soin de ne pas l'appliquer aux intérêts, aux arrérages des fonds publics, aux dividendes, etc. » C'est donc bien akisi qu'il compte percevoir .cette partie de l'impôt....