Extrait du journal

M. Monier, répond-elle, m'avait donc indique nettement l'inopportunité, le danger même de toute action judiciaire contre M. Calmette. J'étais très déconcertée. Peu après le départ de M. Monier, à 10 h. 30, j'ai été mandée, au téléphone par M. Pierre de Fouquières, sous-directeur du protocole, qui me demandait à quelle heure j'arriverais le soir même, à l'ambassade d'Italie, pour dîner en compagnie de mon mari. Je répondis que j'arriverais à 8 h. 15. Je profitai de l'occasion pour solliciter le concours de M. de Fouquières, en vue du dîner officiel que je devais donner au ministère le 23 mars je le priai de vouloir bien désigner les places des convives....