Extrait du journal

La gratuité des écoles publiques a été indirectement un premier coup porté aux écoles privées, .le suis loin de blâmer la mesure. Sous Henri IV, les Jésuites donnaient l'enseignement secondaire pour rien l'Université alla s'en plaindre au roi, qui se moqua d'elle. Il ne faut considans ces matières que l'intérêt public. C'est dans l'intérêt public, bien ou mal compris, et non pas dans l'intérêt des congrégations enseignantes, qu'on leur avait accordé divers avantages «qu'elles viennent de perdre. Pour elles, les '.ettrcs d'obédience remplaçaient les diplômes, ce .fui revient iv dire que leurs membres étaient dispensés de passer des examens. C'était un abus, jontre* lequel j'ai protesté; on l'a aboli, on a bien fait. Cette abolition est-heureuse pour l'enseignement elle est une gêne pour les congrégations, »u du moins un gros ennui. La loi de 1886 leur à porté un coup bien autrement terrible....