Extrait du journal

. Nous étions deux pour courir,«près ce-; lui-là ;. moi et un type d'ici, un bancal' surnommé le Canard- C'est lui .qui m'a-« vait présenté à son Durand de malheur 1; Par eux, j'avais appris, par surprise; le vrai nom du 863. C'était un gros bon-ï net d'ici, d'un château tout près de Plu'mergat. J'ai pas besoin de vous le dési gner davantage, je pense ? À — Non, non, je sais.. /— Bon, on l'avait envoyé là-bas, ou j'étais avant lui, à cause de la. mort de son beau-père, assassiné dans une partie; de chasse. -r-. Oui, et pourtapt il était innocent,de: ce crime, interrompit le notaire grave-; ment., . • — C'est possible.. •' — C'est, certain, affirma M* Bataille. Aujourd'hui la justice connaît le vrai coupable ; celui que vous nommez le 86*3 est réhabilité pleinement., D'ailleurs, je, vous parlerai de ces choses particulières, à.vous seul. J'ai„à ce sujet; une grave communication à vous faire. — A moi seul? répéta l'Ours étonné.; — Oui; mais ne nous arrêtons pas à ce détail pour le moment. Veuillez continuer .votre récit, en ce qui concerne votre fils. . — Oh ! ce sera bientôt fini, allez. " Un jour, j'appris la mort de l'homme que je cherchais pour mon compte et pour celui du fameux Durand. Quant à Thérèse, impossible de met tre la main dessus ; j'y renonçai. Je n'avais plus rien à faire à Paris, dans cette ville du diable, où tout le inonde a l'air enragé ou foui où il y a autant de...